CO-VID Sociétal
Le CoronaVirus, c’est le Virus Couronné…de son succès exponentiel ?
Le Covid, c’est le grand VIDe COmmun auquel l’Etre Humain est confronté aujourd’hui ?
Les rues sont vides…Le vent respire fort et dissémine son souffle…
Bien malgré nous, force est de constater que le confinement nous amène à recentrer les préoccupations humaines sur la Santé et les Etres et les Choses Essentielles de nos petites Vies, si tant est qu’on accepte de se retrouver face à nous-mêmes et au sens que nous accordons à notre modeste présence sur terre.
Que d’agitation pour justifier d’une existence aux yeux du groupe sociétal !
Que de pression au profit de la trilogie infernale du SAP- Sexe, Argent et Pouvoir, dont le plus digne représentant sur terre est Trump…qui porte si bien son nom !
Aujourd’hui, nous nous retrouvons face aux conséquences indirectes de cette course…
– la course au sensationnel – ancestrale giclée d’adrénaline qui décuple temporairement la sensation d’énergie… sans Mammouth – et dans l’indécente surabondance de nourriture, d’informations, de surstimulis en tous genres, notamment dans l’hémisphère Nord de la terre
– la course à la dopamine, qui n’est finalement plus qu’une addiction…dont chacun sait, en ce 21ème siècle, où elle aboutit…overdose, montagnes russes hormonales et/ou neuronales, oubli, désunion, déconnexion !
A l’origine, c’est donc un choix plus ou moins conscient qui nous renvoie vers nos responsabilités individuelles et collectives, que Sartre, entre autres, nous avait déjà soufflé à travers son concept existentialiste si dérangeant.
Et là c’est la baffe écervelée individuelle et collective !
La baffe du Covid, ennemi invisible, dont les effets sont eux bien visibles et bien douloureux sur le QI.
Remercions du fond du cœur et soutenons, chacun à notre manière, les courageux qui luttent sur le front, retrouvent leur vraie place dans leurs métiers d’aide ou leur bénévolat et redonnent en pleine tourmente un sens profond et intrinsèque à leur Vie.
Par rebondissement, chacun est amené à tirer les conséquences de ses décisions et actes…
ou pas, car il reste plus facile dans un premier temps de légiférer sa vie dans les agressifs transferts de responsabilité que d’assumer ce qu’on est et ce qu’on vit.
C’est ‘humain, trop humain’, disait déjà Nietzsche aussi.
Nous nous retrouvons à nouveau de façon drastique face à un choix :
– de pseudo-confort involutif, adossé au non-respect de la Vie en tant que telle, individuelle et collective, microscopique ou universelle,
– ou évolutif, par une réflexion intrinsèque profonde pour le retour du respect et de la résilience à travers des actions sensées, à petite, moyenne ou grande échelle, chacun à sa mesure, dans une intention qui rassure.
Faites vos jeux !
Faites vos choix…